1° MAI : vers de nouvelles victoires !
Les jeunes ont fait plier le gouvernement sur le CPE. Deux mois de
grèves et de luttes l'ont permis. Des assemblées générales, des
coordinations, des actions fortes et décidées l'ont permis alliées à
une unité recherchée avec les salariés qui s'est manifestée dans la rue
avec une puissance à chaque fois grandissante.
Ce premier Mai doit fêter ceci, une fête pour que dès le lendemain la
lutte continue : après le CPE c'est la loi dite d'égalité des chances,
c'est le CNE, c'est la Loi anti-immigrés CESEDA qui doivent y passer.
Ce gouvernement est affaibli, une dynamique a été lancée, il faut
saisir l'occasion.
Certains voudront attendre les "échéances normales des institutions",
ces mêmes institutions qui permettent à un gouvernement régulièrement
et puissamment désavoué dans les urnes comme dans la rue de s'accrocher
à son pouvoir... de nuisance.
Non, les jeunes n'ont pas attendu les "échéances" si chères à la
pleutrerie de certains. Alors salariés, chômeurs, précaires, français
et immigrés n'attendons pas non plus.
Tel doit être le sens de ce 1° Mai.
grèves et de luttes l'ont permis. Des assemblées générales, des
coordinations, des actions fortes et décidées l'ont permis alliées à
une unité recherchée avec les salariés qui s'est manifestée dans la rue
avec une puissance à chaque fois grandissante.
Ce premier Mai doit fêter ceci, une fête pour que dès le lendemain la
lutte continue : après le CPE c'est la loi dite d'égalité des chances,
c'est le CNE, c'est la Loi anti-immigrés CESEDA qui doivent y passer.
Ce gouvernement est affaibli, une dynamique a été lancée, il faut
saisir l'occasion.
Certains voudront attendre les "échéances normales des institutions",
ces mêmes institutions qui permettent à un gouvernement régulièrement
et puissamment désavoué dans les urnes comme dans la rue de s'accrocher
à son pouvoir... de nuisance.
Non, les jeunes n'ont pas attendu les "échéances" si chères à la
pleutrerie de certains. Alors salariés, chômeurs, précaires, français
et immigrés n'attendons pas non plus.
Tel doit être le sens de ce 1° Mai.